Le mot "Yaçna" a une signification riche et complexe dans le contexte des textes sacrés du zoroastrisme. Il provient de l’avestique, la langue liturgique de la religion zoroastrienne. Le Yaçna est une partie centrale de l’Avesta, le recueil des textes sacrés zoroastriens, et désigne à la fois un rituel religieux et la section de l’Avesta consacrée à ce rituel.
Le Yaçna est un service liturgique comprenant des hymnes, des prières et des offrandes destinées à honorer Ahura Mazda, le dieu suprême, et les autres divinités associées. Ce rite est crucial car il célèbre la création, la pureté et le renouvellement de la vie.
Voici quelques exemples illustrant ce terme :
- Rituel central : Le Yaçna est le cœur du culte zoroastrien.
- Recueil de prières : Les sections du texte liturgique Yaçna contiennent plusieurs hymnes.
- Cérémonie religieuse : Les prêtres zoroastriens exécutent le Yaçna pour invoquer des bénédictions.
- Offrandes : Le rituel du Yaçna inclut souvent l’offrande de la boisson sacrée haoma.
- Hommage aux divinités : C’est un moment pour les fidèles de rendre hommage aux Aməša Spəṇtas et autres divinités.