Le terme "douaire" a une origine historique et se réfère principalement à la partie des biens qu’un mari réserve pour sa femme en cas de décès. Traditionnellement, ce droit permettait à la veuve de conserver un certain niveau de vie après la disparition de son époux. En France, ce concept est un peu désuet aujourd’hui mais il reste pertinent comme référence historique ou dans le cadre de certaines successions où les usages anciens sont toujours respectés.
Le douaire variait en fonction des époques et des régions, mais il représentait en général une part des propriétés ou des revenus de l’époux défunt. C’est un terme que l’on retrouve régulièrement dans les études de droit ancien ou dans la littérature décrivant les sociétés d’autrefois.
Exemples :
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Dans l’ancien régime, le douaire était une garantie économique pour les femmes qui n’avaient souvent pas de revenu propre.
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Un roman historique pourrait décrire le conflit familial autour du douaire après la mort du patriarche.
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Dans certaines régions, le douaire consistait en une part des récoltes annuelles, assurant ainsi une source de nourriture à la veuve.
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Le douaire peut aussi être mentionné dans des études concernant l’évolution des droits des femmes dans l’histoire.
